Le matin j’suis fatiguée parce que la nuit j’ai trop rêvé

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Bricorama

Bricolo Ben moi qui disait que je voulais connaître l'enfer.

Toute la nuit, j'ai crevé de chaud. J'ai changé 3 fois de chemise de nuit, et mes draps étaient tellement trempés que j'ai cru que j'avais fait pipi… Je savais pas que je pouvais suer autant ! Après, j'ai dormi la fenêtre ouverte, pour avoir du frais. Mais du coup, j'ai entendu mon voisin qui sciait je sais pas quoi. Ça grinçait, cric, cric… cric… cric… criccriccriccric… ça s'accélérait… ça ralentissait… toute la nuit.

On n'a pas idée de bricoler en plein milieu de la nuit !

20:59 | Lien permanent | Commentaires (3)

Moustache Dans mon rêve, j’étais derrière la cabane d’un glacier à grosse moustache et il me léchait les pieds. Il passait sa langue pourtant sur mes doigts de pied, et chaque fois sa moustache changeait de couleurs : rose, marron, verte, violette. À un moment, elle est devenue jaune et j'ai adoré parce que ça allait trop bien avec mon vernis Parme. Mais à ce moment-là un ange a sauté d’un tracteur et est venu tailler tous les poils du glacier avec un couteau suisse, alors le glacier s’est transformé en président de

la République

et il m'a dit : votre parfum c'est vanille, c'est comme ça que je vous aime

17:06 | Lien permanent | Commentaires (1)

l'effet papillon

Pour séduire un homme, il paraît qu’il faut faire battre ses cils comme les aiPapillon_12les d’un papillon. À mon avis, la dernière qu'a fait ça, elle s’est envolée et l’homme est resté tout seul, planté comme un rond de flan.

21:46 | Lien permanent | Commentaires (2)

Bzzzzzz

L’air était lourd et je poisse, voilà, je colle ! Bourdond

toute ma peau qui colle. Ça m'énerve. Je dis un gros mot et ça résonne, alors je regarde en l’air, et là je découvre que je suis au fond d’un pot de confiture. Il en reste pas trop. D'un coup, j’entends un gros bourdonnement qui se rapproche. Très fort, terrifiant. J’ai peur alors je m’agite, mais je suis prise dans la confiture. J'en ai jusqu'à la taille, et ça monte, et ça monte… Plus je mBourdone débats, plus je m’enfonce.

Une ombre passe au-dessus de moi en faisant un bruit de tondeuse qui fait tout trembler. J'ai peur de mourir, je lui jette ma robe pour qu'il m'accroche et me sorte de là. Mais le gros bourdon m'ignore. Il fonce vers une ruche au loin, et moi je me retrouve toute nue dans mon pot de gelée.

C’est à ce moment-là que je me réveille avec un gros mal de cœur : la groseille ça me retourne l’estomac.

20:58 | Lien permanent | Commentaires (2)

J'ai l'habitude !

Question J'ai pas envie de passer ma vie à chercher l'homme de ma vie ! D'abord, moi ça me gène pas d'être seule. J'ai l'habitude !

Et puis en plus si je me trompe d'homme et que celui que je mets dans ma vie et ben, c'est pas l'homme de ma vie !… Parce que des gourmettes, y'a pas qu'un homme qui en porte. Y'en a plein ! Alors c'est facile de se gourer !

Pourquoi on nous le désigne pas à la naissance, l'homme de sa vie !? Ce serait plus simple !

19:24 | Lien permanent | Commentaires (3)

Charlot, mon coq

Il étaCharlotit super fier mon coq Charlot. Il se promenait dans la basse court, la tête bien haute, en levant bien les pattes comme si c'était sale par terre et en gloussant, cooot, coott, cooooooottttt… avec son œil qui regardait partout.

Un coup je surveille mes poules, un coup je vérifie qu'on m'a bien vu… Il m'énervait !

Franchement, moi mon fiancé, il a pas intérêt de frimer ! Je sais comment il a fini  !

21:21 | Lien permanent | Commentaires (0)

Hippodrome

Tout était vert, c’est normal, j’étais dans un champ de course. Je sentais l’odeur des boxes qui n’étaient pas loin. C’était fort et chaud, c'était bon ! Tout à coup, j’ai entendu Arlequincomme quelqu’un qui renifle, mais en beaucoup plus fort. Alors je me suis retournée, et il était là, habillé comme un Arlequin avec un casque en velours sur la tête. Il me faisait pas peur, il était grand comme moi. Même pas !

Un petit sourire aux lèvres, il a tendu sa cravache vers moi. Il l’a promenée le long de mon corps. J'avais les bras nus. Quand la petite languette de cuir m'a caressée, j'ai frissonné. Et quand il a commencé à toucher mes mollets, j’ai fermé les yeux.

J’étais comme un brin d’herbe où s'accroche une libellule. Je balancé sous son touché.

Plus tard, j’ai rouvert mes yeux, il avait disparu, mais à la place y avait un grand cheval aux narines humides. Je crois que son nom c’était Tempête.

21:19 | Lien permanent | Commentaires (0)

Bal costumé

Freud J'étais à un bal, d'un grand château doré éclairé par des bougies.

Tous les invités portaient des masques de plume magnifiques. On voyait que les yeux qui brillaient en vous regardant, et les bouches qui riaient. Ils avaient tous mis du gloss. Leurs lèvres brillaient vachement.

Et tout le monde dansait, la musique était très forte, c'était du rock… Mon cavalier était assez petit pour un cavalier. Mais il arrivait à me faire partir dans tous les sens, à me basculer, à me retourner... Je touchais plus le sol, j'en pouvais plus, je criais à chaque mouvement, je perdais mon souffle. Incroyable ! Et le plus extraordinaire c'est que je me suis rendu compte que tout le monde était nu, et que ça ne m'a pas gênée du tout.

20:33 | Lien permanent | Commentaires (0)

- Quand t'entends sonner l'angélus, c'est que le vent a tourné.

Et il rajoutait : Quand t'entends sonner madame Colin, c'est qu'elle a remué la tête.

- Ce qui fait l'artisan, c'est pas les outils, ni le numéro de Siret… C'est ses mains.

     (Moi, je vais faire assurer mes mains.)

18:36 | Lien permanent | Commentaires (0)

C’est bizarre la nuit

Hier j’ai pas rêvé, enfin j’ai pas rêvé comme d’habitude, parce que je me souviens de rien. Enfin si , y’avait mon père qui se rongeait les ongles de pied ! Comme il est pas très souple, ça lui prenait beaucoup de temps et moi pendant ce temps là, je dormais.

Oui c’est ça je dormais, puisque je me souviens de rien… C’est bizarre la nuit , il peut y avoir des tas d’aventures ou rien…

Et tu peux pas le prévoir avant de t’endormir…

17:10 | Lien permanent | Commentaires (1)

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